Le blog de PureOcean

Clea et la cuisine japonaise

Clea, alias Claire, est l’animatrice du célèbre blog culinaire Clea Cuisine, qu'elle a créé durant ses deux années passées au Japon. Sashimi de poisson à la tahitienne, cake au matcha, wafu tiramisu… son blog est un savant mélange de recettes bio et japonaises, toutes en fraîcheur, légèreté et originalité. Clea est aussi l’auteur du livre "Agar-Agar : secret minceur des japonaises" publié aux éditions La Plage, dans lequel elle explique les vertus de l’algue et son utilisation simple au quotidien pour préparer des repas savoureux et faibles en calories.

Qui êtes-vous, Clea ?

Je suis une jeune femme de 27 ans qui aime par-dessus tout s’amuser autour de la cuisine : inventer, tester, redécouvrir, sublimer... Je cuisine bio depuis mon adolescence. J’ai aussi passé deux ans au Japon et appris la cuisine de ce pays.

Comment avez-vous découvert l’agar-agar ?

J’ai découvert l’agar-agar dans mon magasin bio il y a de nombreuses années. A l'époque, on le connaissait surtout pour les confitures (il permet de mettre moins de sucre). Lorsque j'ai vécu au Japon, j'ai découvert que l'on pouvait l'utiliser pour réaliser toutes sortes de desserts, mais aussi que les japonaises en avaient fait un véritable "secret minceur". Elles en glissent une cuillerée dans une tasse de thé pour profiter de ses effets détoxifiants et rassasiants. Par la suite, j'ai expérimenté l'agar-agar sous toutes sortes de plats : entremets, crèmes desserts, terrines, mousses, glaces, charlottes... C'est un excellent gélifiant végétal qui permet de se passer de gélatine (d'origine porcine ou bovine) tout en profitant de ses bienfaits pour la santé.

Comment avez-vous été amenée à écrire les livres "Agar-agar" et "Quinoa" ?

J'ai contacté les éditions La Plage en leur envoyant quelques recettes parues sur mon blog. Cette maison d'édition a exactement la philosophie à laquelle j'aspire : elle valorise une cuisine bio, saine et gourmande, avec une volonté de démocratiser le bio. On m'a proposé d'écrire un livre sur l'Agar-agar, puis un autre sur le Quinoa, deux ingrédients que je connais bien puisque je les cuisine depuis de nombreuses années.

"Manger sain et équilibré", c'est important pour vous ?
Oui, c'est au fondement de ma façon de cuisiner. On le voit sur mon blog et dans mes livres : je privilégie des ingrédients bons pour la santé, j'essaie de les substituer aux ingrédients trop gras ou trop sucrés, et d'inventer les recettes qui vont avec. Quand on me demande ce que je mange dans la vraie vie, je réponds : "comme sur mon blog !" Pour moi, manger sain n'est pas manger triste. On peut se régaler au quotidien en mangeant équilibré.

Connaissez-vous les vertus et les saveurs des autres algues et vous arrive-t-il d'en cuisiner ?

Oui, je cuisine d'autres algues, comme le nori, le wakame, la dulse ou le kombu. Elles sont remplies de minéraux essentiels pour l'équilibre alimentaire et sont délicieuses à cuisiner. J'ai notamment expérimenté de nombreuses recettes pour mon prochain livre "Cuisiner les ingrédients japonais" qui sort le 10 avril prochain : Crackers aux algues, tartinade de la mer, soupe miso aux algues, tarte à la dulse et aux poireaux...

Vous avez évoqué la sortie prochaine d’un ouvrage. Quels sont vos projets ?
"Cuisiner les ingrédients japonais" sera suivi d’une autre livre "Mes p'tites gamelles : manger bio au bureau", qui paraîtra le 30 avril. Je continue à travailler sur d'autres projets. Les idées ne manquent pas et c'est vraiment un travail plaisant et passionnant !

Le Detoxifiant marin dans Questions de Femmes

Un publi-rédactionnel consacré au Detoxifiant marin de PureOcean vient de paraître dans le magazine Questions de Femmes (numéro de mars 2008).

Lire l'annonce presse : Téléchargement Publi-Detox.pdf.

Pierrick Le Roux, le pédagogue en chef des algues

Né à Saint-Brieuc, Pierrick Le Roux est professeur de cuisine au Lycée Fénelon à Brest. Depuis plusieurs années, il communique sa passion pour les algues à ses élèves mais aussi aux particuliers en leur apprenant à les identifier et à les préparer lors d’ateliers découvertes & dégustations. Il est également l’auteur de nombreux livres et DVD sur la cuisine aux algues. Bref, c’est un pro !

Comment est né votre intérêt pour les algues ?

Dans les années 80, j’étais cuisinier à l’Hôtel Nikko à Paris. J’avais un responsable japonais qui les cuisinait pour sa consommation personnelle, à l’heure de la pause-repas. A l’époque, il avait du mal à s’en procurer à Paris. Ses parents, depuis le Japon, lui envoyaient des algues par colis, surtout du nori et du wakamé. Nous sommes devenus amis et il m’a fait découvrir leurs saveurs, la façon de les cuisiner et de les apprécier.

Et vous êtes devenu amateur…

Amateur et curieux. De retour en Bretagne quelques années plus tard, je me suis intéressé à ce végétal marin qui est partout présent sur nos côtes mais n’entre pas pour autant dans notre alimentation. Avec près de 70 000 tonnes exploitées chaque année, la Bretagne est en effet la première région européenne de production des algues marines. Les bretons ont beau avoir un extraordinaire « garde-manger » sous leurs pieds, ils n’en sont pas très friands. Surtout les anciens qui utilisent traditionnellement les algues comme engrais. Pour eux, manger des algues, c’est manger du goémon ou varech, un fertilisant ! Par ailleurs, pendant la Guerre, on les utilisait comme gélifiant pour les gâteaux. Dans l’esprit populaire, elles restent associées à des additifs plus qu’à des aliments à part entière.

D’où l’importance de la pédagogie ?

Oui. Tandis que je me lançais dans des recherches passionnées sur les algues, leurs bienfaits, leurs saveurs, j’ai eu le chance de rencontrer des scientifiques de renom, le professeur Claude Chassé, Océanographe-biologiste et Algologue expert et le professeur René Delepine, qui a consacré 36 années de recherche aux algues des Kerguelen. A leurs côtés, j’ai approfondi mes connaissances sur les différentes espèces puis j’ai commencé à créer quelques recettes. Contrairement aux champignons, aucune n’est mauvaise à la consommation et ne provoque des risques d’intoxication alimentaire. Mais il en existe certaines meilleures que d’autres comme l’algue nori, très parfumée, le wakamé, la plus simple à utiliser, la dulse, la laminaire sacharine excellente pour confectionner les papillotes de poissons et celle que j’aime beaucoup, la laurancia, une algue poivrée qui hélas n’est pas commercialisée.

Vos recettes ont eu du succès ?

Disons que j’ai piqué la curiosité à mon tour ! Lors de manifestations (salons, festivals), je présentais des recettes de cuisine à base d’algues. Comme le public me les réclamait pour pouvoir les refaire plus tard, je les imprimais sur des photocopies. Et très vite, à la demande générale, j’ai écrit mon premier livre "Cuisine et algues de Bretagne" publié en 1991 aux éditions Coop Breizh. Dix ans après, en 2001, j’en ai édité un autre, "Connaître et cuisiner les algues bretonnes" avec une partie plus importante sur l’identification des espèces, les meilleures saisons pour les ramasser. Cet ouvrage a eu un beau succès, avec plus de 10 000 exemplaires vendus !

C’est bon signe ! Pensez-vous que les algues entreront un jour dans l’alimentation des français ?

D’après une étude de l’INRA, les algues seront dans le panier de la ménagère vers 2015. C’est donc un produit d’avenir ! Comme souvent, il faudra sans doute un effet de mode pour que sa consommation sorte de la confidentialité (ou de la témérité). Si un chef de cuisine renommé, par exemple, les utilise dans ses recettes, il y aura un "effet photocopieur" comme dit Bocuse : tout le monde s’y mettra !

Et vous alors ? Vous êtes le précurseur, celui qui a réalisé un DVD joliment baptisé "Kit de survie par les algues alimentaires".

C’est un film de 25 minutes qui comprend 8 minutes sur l’estran, la découverte des espèces, des conseils d’utilisation. Chaque algue est filmée séparément pour bien la mémoriser. Une vidéo qui apprend les bases aux novices. Ensuite, j’en ai réalisé d’autres autour de la cuisine avec pleins de recettes filmées : sushis bretons, mignon de porc pays d’Iroise, huîtres chaudes au nori, Tome aux algues sans oublier ma spécialité : la choucroute de la mer aux algues.

Rassurez nos lecteurs… C’est difficile de cuisiner des algues ?

Le plus compliqué est de les récolter : il faut que cela tombe un jour de printemps, où le coefficient de marée basse est au moins à 80 et de préférence un dimanche (mais non, je blague !) La cuisine est très simple : les algues cuisent toutes entières avec la préparation pour libérer leurs saveurs, leurs minéraux et vitamines. Il est également possible de cuire les algues comme un légume et de les incorporer à une préparation : salades, potages, omelettes. En général, un petit cours d’initiation pratique suffit pour avoir envie de cuisiner à l’infini le végétal.

Tous les dimanches, Pierrick Le Roux organise pour le public des ateliers Découvertes. Les participants apprennent à identifier et à récolter les algues puis lors d’un atelier cuisine, à préparer des recettes. S’ensuit un repas arrosé de bonne humeur et d’un petit Muscadet.

Le rendez-vous a lieu au Musée de Goémoniers et de l’Algue, à Plouguerneau.

Infos : www.cuisineauxalgues.com

PureOcean dans Le Courrier de l’Ouest

Edition du 6 février 2008 (cliquer sur l'image pour lire l'article)

Quel est l’intérêt d’une cure de Détoxifiant ?

Quel est l’intérêt d’une cure de Détoxifiant ? Réponse avec Frédéric Jadaud, ostéopathe DO à Cholet.

"Pour moi, l’intérêt de faire une cure de Détoxifiant est essentiel. Nous savons que notre mode de vie est propice à l’accumulation des toxines : tabac, pollution, nourriture grasse et sucrée.  Même les amalgames dentaires à base de métaux lourds génèrent des toxines ! Le foie, les reins, la rate, dont la fonction majeure est de filtrer et de nettoyer le corps se congestionnent et peinent à la longue à effectuer efficacement leur travail quotidien.

La première conséquence est une baisse de tonus, mais il existe d’autres effets négatifs, sur le squelette en particulier : gênes ou douleurs au niveau des dorsales, des cervicales, des épaules (les ligaments et les fascias qui retiennent le foie ou la rate sont hypertendus), sensation de blocages respiratoires (par hypomobilité du diaphragme), voir maux de tête chroniques.

Les algues sont d’excellentes alliées : elles sont naturelles, facilement  assimilées, et leur action douce respecte les organismes fatigués. La cure de Détoxifiant Marin exclusivement à base de quatre algues est un véritable cocktail purifiant : la Chlorella, l’Himanthalia et la Porphyra dépolluent : elles se fixent sur les toxines et les entraînent pour être évacuées, ce qui est essentiel à toute bonne santé. La Spiruline reminéralise doucement l’organisme.

Les organes, peu à peu débarrassés de ce qui les gênait pour fonctionner normalement, retrouvent leur pleine capacité de filtrage et de nettoyage. Régénérés, ils répondent plus vite, la fatigue générale s’estompe, d’où un bien-être et une énergie retrouvée.

Au niveau ostéopathique, l’effet d’une cure vient compléter les techniques manuelles de mobilité et de drainage. Je constate à chaque fois une diminution des tensions au niveau du ventre, et notamment au niveau de la région épigastrique. La respiration est libérée, il y a moins de douleurs liées à ces organes en dysfonction."

Le produit "Articulations" pour soulager les articulations sensibles

Arthrose, arthrite, polyarthrite, arthralgies... Près d’un tiers des Français souffre de rhumatismes. Ces maladies et troubles articulaires augmentent souvent avec l’âge, le cartilage se régénérant moins bien et entraînant une usure des articulations (doigts, genoux…)

Que faire lorsque les premiers symptômes surviennent ? En cas de douleurs et raideurs articulaires, il convient de consulter un médecin. En générale, les spécialistes prescrivent d’abord des médicaments destinés à soulager la douleur : des antalgiques (comme le paracétamol) ou des anti-inflammatoires.

D’autres traitements peuvent être préconisés, qui varient selon la gravité de la maladie : la thérapie physique, telle la kinésithérapie (massages), le soutien matériel ponctuel (des semelles orthopédiques pour soulager la colonne vertébrale par exemple) ou les interventions chirurgicales, qui peuvent s’avérer nécessaires en cas de déviation articulaire (modification de la position de l’os) ou de troubles cogénitaux (luxation des hanches).

Pour calmer les douleurs légères, des patients se tournent également vers les cures thermales ou les médecines douces (acupuncture), d’autres vers des compléments alimentaires contenant des nutriments dont les bienfaits sur les articulations ont été avérés par des études cliniques et/ou scientifiques.

Parmi eux, le produit Articulations de PureOcean. Sa formule contient une micro-algue brune, l’Odontella, capable de produire naturellement la silice, qui agit sur la protection des articulations. Enrichie en zinc, elle associe également la Chondroïtine, reconnue pour apaiser les douleurs de l’arthrose et la Glucosamine, issue de coquillages marins, favorisant la fabrication du cartilage. Leur action conjuguée permet de calmer les douleurs, de renforcer la reconstitution du cartilage et de soulager les articulations sensibles.

En entretien régulier ou en cas d'inconfort, Articulations aide ainsi à préserver son potentiel articulaire. Mais en aucun cas il ne doit se substituer au  traitement thérapeutique. Contrairement à ce qui est parfois véhiculé, les compléments alimentaires ne sont pas des produits miracles !

Ils n’ont pas de fonction curative mais un rôle protecteur, dispensé par des apports nutritionnels visant à pallier ponctuellement des carences ou des besoins physiologiques. Il est essentiel de bien comprendre cette distinction et de toujours garder à l’esprit qu’une alimentation équilibrée et variée reste le principal allié santé !